Le temps passe, les gens changent [Mickael, Yukina, Graham]

Koyori sentait ses sens s’enflammer et se perdre un peu plus à chacune de ses caresses. Heureusement qu’elle avait pus se réprimer durant ses chaleurs, elle aurait regretté que ce moment ne soit pas aussi chargé de sentiments que ce pus être le cas pour l’heure. Et de temps à autre, les oreilles félines s’agitaient sur son crâne. La Neko répondait donc avec passion et tendresse à chacun des baisers qu’il posait sur ses lèvres, répondant de même à chacun de ces jeux de langues. Dans la poitrine de la femme chat, son cœur battait à tout rompre, bien plus fort qu’elle ne l’aurait penser de prime abord. Sous les doigts du médecin, la queue de la féline remua légèrement.

La supposée esclave frissonnait tout contre lui et s’accrochait à lui alors que leurs mouvements en échos la pilonnait tout en faisant naître en elle une vague de plaisir de plus en plus puissante. Koyori laissa échapper un soupire de bien être tout contre les lèvres de son amoureux. Enfin, pour l’heure, la féline ne voulait penser à rien d’autre qu’à son compagnon : A son corps tout contre elle. A son souffle court qu’elle percevait autant par son souffle qu’elle entendait court que parce qu’elle le sentait mourir tout contre ses lèvres. Encore quelque instant et la féline atteignaient un palier de plaisir. Son corps fut parcourut d’un vif frisson alors qu’elle décrocha ses lèvres de celles de son amant et amour.

« Mickael ! »

Souffla-t-elle d’une voix peut-être juste un peu trop forte alors qu’elle arrivait à la jouissance pour la première fois de sa vie. Et cette fois, ce ne fut que de justesse que la brunette ne plongea pas ses griffes dans les épaules de l’homme. Koyori s’accrochait toujours à lui et, même si chaque mouvement se répandait dans son corps, manquant de la faire crié de plaisir, elle continuait de se mouvoir autour de lui et elle continuerait tant qu’elle ne l’aurait pas amener au plaisir lui aussi.

Mickael était comme on l'avait dit souvent un parfait débutant, malgré au départ une petite incertitude dans ces actions, il avait surtout agit sur ce que ressentait sa partenaire, voulant qu'elle ressente de plus en plus de plaisir, mais il n'avait pas du tout fait attention au désir de Koyori, qui voulait surement et également qu'il jouisse en même temps, d'ailleurs, cela pouvait paraitre bizarre, mais il n'avait pas du tout fait attention à l'état de son corps, si bien que quand il sentit la contraction de son amour signifiant sa jouissance et qu'il entendit son nom, Mickael ne pu se retenir, il fallait également voir que la Neko avait continuer les mouvement de bassin l'obligeant encore plus à jouir, ce qu'il fit très peu de temps après elle, criant presque sous ce plaisir encore inconnu, l'embrassant pour partager avec elle ce qu'il pouvait ressentir à être avec elle à ce moment la.

Le médecin avait l'impression de ne plus rien avoir dans la tête, juste la tête de la Neko qu'il aimait devant les yeux, il avait un petit sourire malgré son souffle court, et il sentait les fluides de son corps et de celle de Koyori se mélanger comme ils pouvait dans l'espace réduit qu'ils leurs étaient attribuer, sa verge, au plus profond de sa partenaire, était toujours aussi rigide sous la sensation de l'intimité de son amour mais il ne disait rien, la regardant juste, repoussant une mèche de ces cheveux avec le sourire avant de l'embrasser, beaucoup plus tendrement et amoureusement que tout ce qu'il avait pu montrer jusqu’à maintenant, par la suite, il ne fit que lui caresser un peu la tête avant de lui parler.

"Je t'aime tant Koyori, plus que tu ne pourrais l'imaginer.."

Il restait maintenant à savoir ce que voulait faire sa belle, peut être qu'elle en avait eu assez, ou bien qu'elle avait envie de changer de lieux, dans tout les cas, leur première fois étaient quelque chose qu'ils allaient surement se souvenir pendant un long moment.

Koyori s’était accrochée à sa jouissance jusqu’à ce que Mickael ne la rejoigne dans cette jouissance. Quand elle l’avait sentit se relâchée en elle, la féline n’avait pus retenir un petit cri. Elle n’avait pas été préparée à sentir sa semence se relâchée ainsi en elle. Au moment où elle avait faillit crier, leurs lèvres s’étaient unies dans un baiser dont il avait pris l’initiative. La femme chat frissonna tout en répondant au baiser avec tout l’amour qu’elle ressentait pour lui, un amour infini. Tout comme le médecin, la Neko avait le souffle court et elle sentait tout son corps irradié encore de tout ce plaisir qu’il lui avait offert. Elle plongea son regard sombre dans celui de son amoureux et amant, ne cherchant pas à se retirer de sur sa virilité, Koyori se contenta d’enrouler à nouveau ses bras autour du cou de son amour alors qu’il repoussait une mèche de ses cheveux. La féline lui avait alors adressé l’ombre d’un sourire… Un sourire d’une infinie douceur comme elle en avait peut montrer jusque là.

Mickael l’avait ensuite embrasser t elle avait répondu à ce baiser, tremblant légèrement entre les bras du médecin, il fallait dire qu’elle n’était pas habituée à ce genre de traitement et que son corps en avait tout de même éprouvé… Encore quelques instants, puis, il lui passait une main dans les cheveux et elle ferma les yeux, savourant purement et simplement ce contact familier malgré tout. Il lui avait ensuite dit qu’il l’aimait, plus qu’elle ne pourrait l’imaginer et elle avait alors sourit venant à son tour lui dérober un baiser tout en douceur et tout en tendresse.

« Et je t’aime bien plus que je n’aurais pensé possible de le faire Mickael… Au moins mille fois plus que ça… »

Elle avait parlé toujours contre ses lèvre, puis, elle avait ensuite poser un léger baiser sur ses lèvres, chaste ce baiser là. Bien qu’elle soit toujours empalée sur la verge de son amoureux. Dans son dos, sa queue continuait de remuer en d’amples mouvements qui troublèrent l’eau dans son dos.

Pour le moment Koyori et Mickael étaient toujours unies l'un à l'autre, restant comme il pouvait hors de l'eau, mais il fallait dire que ce qu'il venait de subir était assez épuisant, il ne savait pas si il pouvait encore tenir le coup, il l'écouta alors et eu un petit rougissement, les deux semblait s'aimer à n'en plus finir, ce qui était une bonne chose en soit, il répondit alors doucement à son baiser avant de se hisser d'une seule main sur le rebord de la piscine, faisant attention au pieds de sa belle et également à sa queue, quand il se posa finalement dessus, un petit accoue se fit sentir dans l'intimité de sa compagne, il réprima comme il pu un gémissement avant de continuer de la regarder, le regard toujours aussi remplie d'amour.

La question était toujours la, qu'allait il faire maintenant, certes il se sentait très bien maintenant, mais il n'allait tout de même pas rester en elle pendant des heures sans même bouger, sa volonté avait une limite, mais pour le moment il préféra la tenir contre lui, profitant de la chaleur de son corps contre le sien, voulant encore attendre un peu, voir si elle avait quelque chose d'autre à lui dire, ou alors qu'elle avait envie de continuer, bien entendu elle pouvait également arrêter la, il allait juste se contenter de lui caresser la tête avec un sourire tendre et doux, il commençait doucement à avoir un peu froid, il fallait dire qu'il n'était plus dans l'eau maintenant, alors il devait se réhabituer à la température ambiante, la journée ne semblait pas trop avoir avancer mais cela ne le dérangeait pas trop, après tout, pour le moment il était toujours fixé sur elle, regardant son visage et bizarrement s'attardant toujours sur ces lèvres, un peu comme captiver, il avait encore des progrès à faire, mais bon.

Et ainsi le couple connu leur premier moment de fusion. Ils s’étaient encore une fois dit à quel point ils s’aimaient et Koyori vit Mickael rougir se qui étira encore un peu plus son sourire. Puis, le médecin les hissa sur le rebord du bassin tirant un hoquet à sa compagne alors qu’elle s’accrochait un peu plus à lui. Peu à peu l’excitation de la femme-chat disparaissait, chasser par ce plaisir qui, après avoir atteint son summum semblait se répandre dans le corps de brunette. Ce fut quand elle sentit l’homme frissonner contre elle qu’elle réalisa qu’elle aussi elle avait froid… Son regard tomba sur la serviette détrempée… Tout comme la chemise de son compagnon et elle grimaça légèrement. La jeune femme s’était alors retiré du membre de son compagnon avec un petit gémissement, puis, elle s’était décalée sur le coté avant de se rendre compte qu’elle se sentait aussi épuisée… Elle se laissa alors tout simplement tomber allongée au bord du bassin, ses jambes glissant à nouveau à demi vers l’eau. Elle resta un moment ainsi, à reprendre son souffle avant de reprendre la parole.

« Si on reste comme ça, on va finir par attraper froid… »

Et celui de son premier jour ici lui suffisait largement… Koyori était cependant très tenter de simplement rester tel qu’elle était, mais ce ne serait vraiment pas une bonne idée. La jeune femme grogna, puis de redressa en partie avant de promener son regard dans la pièce jusqu’à ce qu’il soit accroché par un meuble qu’elle ouvrit grâce à sa télékinésie… Bingo… Elle fit rapidement venir deux serviettes à elle avant d’en poser une sur les épaules de Mickael, le frottant doucement pour le réchauffer et le sécher. Encore une fois, elle le faisait passer avant elle, ça en devenait une habitude…

Mickael était épuisé et avait du mal à garder son esprit clair, il avait bien envie de passer le reste de la journée à dormir avec Koyori coller contre lui, mais ne savait pas encore si elle avait envie de se reposer, il se gratta alors la tête et eu aussi un petit gémissement quand elle se retira, son membre encore un peu sensible, il la regarda par la suite s’allonger sur le bord de la piscine avant de lui dire qu'ils allaient surement attrapé froid si cela continuait, avec le coup de la douche il y a quelque jours cela n'était pas nouveau, il la regarda alors se relever avant de faire venir des serviette à elle, il la regarda alors avec le sourire avant qu'elle ne commence à le frotter pour le réchauffer, elle était toujours à le faire passer avant, mais lui faisait le contraire, il la faisait passer avant lui, en clair, ils se complémentaient, il pris alors l'autre serviette et fit de même pour elle avec le sourire tout en lui parlant.

"Je m'occupe de toi."

Frottant doucement le corps de sa compagne pour la sécher et la réchauffer, Mickael avait maintenant l'occasion de voir les formes de sa belle de beaucoup plus près, il fallait dire qu'elle était divine, et bizarrement seule un petit rougissement se fit voir, après tout, ils venaient juste de faire l'amour pour la première fois, ce n'était pas comme si c'était plus gênant que de voir un corps nue, qui plus ai celui de la femme qu'il aime, il s'occupa alors de ces épaules aussi ainsi que son dos, ayant les bras un peu plus long qu'elle, il put également un peu descendre et s'occupa de son ventre, avant de remonter vers sa poitrine, c'était peut être la partie la plus délicate, parce qu’il ne l'avait jamais toucher, juste toujours sentit contre lui, néanmoins, il essaya de se contrôle et se cantonna au séchage et au réchauffage, du moins pour le moment, il ne savait pas lui même si il n'allait pas finir par faire une bêtise, il était un homme après tout...

Koyori sentait un frisson lui remonter tout le long du dos. Pas de doute, si elle n’avait pas déjà attraper un rhume, ça ne tarderait pas à être le cas. En tout cas, la jeune femme essuyait son compagnon avec des gestes tendres, quoi qu’un peu maladroite quand il lui annonça qu’il s’occupait d’elle. Malgré elle, la fille chat laissa un sourire se poser sur ses lèvres. Et, comme il le lui avait dit, Mickael commença à la sécher, elle ne pu s’empêcher de rougir à nouveau. Puis, elle réalisa quelque chose. Après tout, c’était la première fois qu’il la voyait nue et, maintenant, rien ne troublait plus ses sens de médecin. Fatalement, il allait les remarquer. Quoi ? Les marques sur sa peau. Ces tâches normalement couvertes par le tissu, brûlures qu’elle n’avait pas soignées ou qui était trop en profondeur pour que le traitement fasse vraiment effet. Il fallait dire que la féline avait souvent reçu des coups de teaser aux mêmes endroits, dans son dos. Ces cicatrices lisses sur sa peau, presque invisibles. Elles avaient toujours été faites pour être douloureuse, mais sans aucun danger. La jeune femme baissa les yeux, un peu piteuse et surtout pas mal coupable.

Elle ne se rendit compte qu’elle avait cessé de le frictionner que plus d’une minute après l’avoir fait. Ses oreilles de chat se couchèrent sur son crâne alors qu’elle recommençait à la frictionner. Koyori n’avait même pas la motivation suffisante pour lui demander de ne pas s’occuper d’elle, elle était trop fatiguée pour ça… Elle n’osait même plus le regarder maintenant. Mickael en était venu à lui essuyer la poitrine et la féline était devenue encore plus écarlate, réprimant tant bien que mal un gémissement. Ce n’était peut-être pas une si grande idée que ça en fait, sa poitrine était rendue bien trop sensible par ce qui venait de se passer entre eux.

« Mickael… »

Souffla-t-elle, essayant par la même occasion de le faire comprendre qu’il valait mieux qu’il n’insiste pas plus que ça. Rome ne s’est pas fait en un jour, la Neko asociale ne pouvait tout simplement pas devenir la plus câline du jour au lendemain. Au moins, elle était devenue plus tendre vis-à-vis de lui, c’était déjà une belle évolution ! La féline soupira doucement et lui pris la serviette des mains, laissant l’autre sur la tête et les épaules du médecin. Puis, Koyori entrepris de se lever, de chanceler jusqu’à la chaise la plus proche et de s’y laisser choir avant d’enfin commencer à se sécher par elle-même. Des plaques écarlates étaient toujours bien présente sur ses joues et, pour le moment, elle évitait soigneusement de le regarder, gênée au possible.

Mickael avait bien entendu remarquer l'état de la peau de sa belle, il était médecin, c'était plus fort que lui, et intérieurement il était fâcher, pas contre elle bien entendu, mais contre ces marchands qui traitait les esclaves comme des chiens, et maintenant, il devait trouver un moyen pour la soigner, mais puisque certains se trouaient trop en profondeur, il serait impossible pour de la pommade de faire effet, il allait alors devoir trouver quelque chose avec les herbes, elle se sentait également coupable de tout ce qu'elle avait sur son corps, Mickael soupira, elle n'avait pas à avoir honte, elle était magnifique comme elle était et il allait bien entendu lui dire.

"Ne t'en fait pas, tu est sublime et je me fiche pas mal de ce ces vermines t'ont fait, tu restera toujours la plus belle pour moi"

Un peu plus tard, il entendit Koyori gémir avant de lui dire son prénom, il se rendit alors compte qu'il avait peut être un peu trop frotter sur sa poitrine, elle était surement encore sensible, il la laissa alors prendre la serviette et la regarda se mettre sur une chaise, les joues complètement écarlates, lui aussi avait les joues bien rouges mais n'allait pas trop y faire attention, il se releva alors doucement, sentant que ces jambes aussi avait un peu de mal à tenir, néanmoins il arrivait à marcher comme il fallait, il alla alors la rejoindre et remarqua enfin le rouge sur sa propre serviette, il c'était blesser dans le dos, surement qu'elle ne l'avait pas remarquer, il fallait mieux qu'il en parle avant elle, il s'asseya alors à côté d'elle et s'étira un peu avant de lui dire quelque chose.

"Au fait, ne te sens pas coupable pour mes épaules, il parait que cela arrive pour certaine femme de faire ce genre de chose, c'est....le médecin qui était passé la dernière fois qui me l'a dit, et puis, cela ne m'a fait fait mal."

Koyori avait eut un petit rougissement mais elle n’avait pas insisté. Elle était consciente que, si Mickael était capable de passer outre son sale caractère, ce n’était quelques marques sur son corps qui allaient changer les choses. La femme chat s’était cependant éloignée de lui pour se sécher par elle-même. Le médecin vint la rejoindre, puis, il lui parla, lui demandant de ne pas se sentir coupable pour ses épaules, que ça arrivait à certaines femme de faire ce genre de chose, d’après le médecin qui était venu quelques semaines plus tôt. Les oreilles de la féline se couchèrent sur son crâne alors qu’elle jeta un œil à ces blessures, le regard un peu triste. Puis, elle lui parla :

« La plupart des femmes n’ont pas de griffes rétractables… Je verrais à te soigner ça dès qu’on passera près d’une boite à pharmacie… »

Il y en avait suffisamment dans la maison pour qu’ils passent sur le chemin de l’une d’entre elle en quittant la piscine. La jeune femme continuait encore et toujours de se sécher, insistant particulièrement sur ses cheveux, ses oreilles et sa queue. Quand elle se jugea suffisamment sèche, elle jeta un œil à la tenue qu’elle avait en arrivant et esquissa une moue dégoûtée avant de tourner à nouveau les yeux vers le meuble où il avait déjà pris les serviettes. Elle en fit venir une autre à elle et s’enroula dans la nouvelle serviette comme elle l’avait fait dans l’autre un peu plus tôt. Puis, les jambes encore flageolante, elle se releva et lui tendit la main pour l’aider à faire de même.

« Allons nous changer et nous reposer un peu tu veux ? »

Lui demanda-t-elle d’une voix douce. Elle tourna un œil vers ses affaires et soupira. Elle reviendrait les chercher plus tard, puisqu’il n’y avait que tout les deux dans la maison. Koyori s’étira un peu et se passa une main derrière la nuque sans trop savoir ce qu’elle pourrait faire de plus que d’attendre sa réponse et de quitter la pièce maintenant. La Neko eut juste le temps de détourner la tête qu’un éternuement lui échappait. Et voilà, c’était officiel, elle était enrhumée… Bon… Et bien, il allait falloir qu’elle fasse avec.

Au moins c'était lui qui lui avait parler des blessures, le résultat devait donc être beaucoup moins fort que si il l'avait caché, par ailleurs, cela ne lui faisait pas mal du tout, il ne savait pas si elle avait fait attention ou alors qu'il était un peu masochiste, mais dans tout les cas il ne voulait pas qu'elle soit triste juste pour cela, la preuve, il soupira alors et approcha sa tête de la sienne pour lui poser un léger baiser sur ces lèvres puis recula un peu avec un grand sourire sur son visage.

"Peut être, mais elle ne sont surement pas aussi attentionnée que toi ma douce Koyori, et puis, je préfère que tu te laisse allé dans ces moment la que tu ne te préocupe trop de tes griffes, après tout, je n'ai rien ressentit, donc il n'y a pas de problème."

Il ne savait pas si elle allait prendre son explication comme acquis, mais c'était ce qu'il pensait, en attendant, il la regarda lui tendre sa main et la prit doucement pour se relever par la suite, il était vrai qu'il fallait mieux allé se reposer maintenant, et qui plus ai, il l’entendis éternuer, elle avait surement attraper froid, pendant qu'il marcha alors vers la sortie de la piscine, il agrippa une autre serviette et la plaça sur les épaule de sa Neko, pour lui mettre un peu plus de chaleur, par la suite, il avait bien une idée, mais elle était vraiment....comment dire....bien particulière et il était presque sur qu'elle n'allait surement pas vouloir faire quelque chose d'aussi gênant, mais c'était un moyen comme un autre, Mickael inspira alors profondément et lui proposa quelque chose.

"Tu sais Koyori, il y a un très bon moyen de ce garder au chaud pendant qu'on se reposera, mais....comment dire....cela implique de rester nue et collé l'un contre l'autre, après tout, il n'y a pas de meilleur remède contre un rhume que de rester au chaud, et la chaleur corporelle est un très bon moyen de le rester."

Koyori culpabilisait, mais elle savait que Mickael ne la laisserait pas tranquille si elle montrait qu’elle s’en voulait de tout ça. Il opposa cependant à ce qu’elle lui disait que les autre femme n’étaient probablement pas aussi attentionnée qu’elle. La jeune femme baissa légèrement les yeux même si il sentit ses lèvres se poser sur les siennes. Ensuite, il lui avait dit qu’il ne s’était pas préoccupé de ses griffes qu’il n’avait même rien sentit.

« Tant mieux si tu n’as pas eut mal… »

C’est tout ce qu’elle avait eut le courage de le lui dire. La féline l’aida à se relever, puis, il lui posa une serviette sur les épaules. Décidément, il était toujours aussi prévenant vis-à-vis d’elle et cela la touchait, même si cette fois il était probablement trop tard, elle avait déjà attrapé froid. Il se passa quelques instants, avant qu’il ne parle à nouveau. Cette fois, il lui disait qu’il y avait un bon moment pour se garder au chaud pendant qu’ils se reposeraient. Quand il lui expliqua la marche à suivre pour ce bon moyen elle resta bouche bée, puis, ses joues s’enflammèrent. Elle garda un moment le silence, totalement perdue. Puis, la brunette se tortura l’esprit un instant avant de finalement recommencer à parler.

« Si c’est la meilleure solution, faisons comme ça alors… »

Souffla-t-elle simplement en évitant pour autant simplement de le regarder. Alors, ce n’était pas vraiment utile qu’elle passe dans sa chambre pour se changer. La Neko se mordilla une griffe sans trop savoir quoi faire. Koyori alla ensuite récupérer ses affaires et les rassembla sur sa poitrine, elle hésita alors un instant, se mordilla la lèvre un peu nerveusement. Bizarre qu’elle soit encore aussi nerveuse après ce qui venait de se passer. La femme chat s’étira un instant, puis, elle parla à son compagnon.

« Je dois passer à l’atelier ranger un peu le bazar que j’ai pus y mettre ces derniers jours… »

Et surtout, la féline devait s’assurer qu’il ne tombe pas sur ses dessins de ci tôt, ce serait vraiment trop gênant pour elle. Koyori soupira doucement et se passa une main derrière la nuque avant de s’avancer d’un pas un peu chancelant vers le couloir. Elle se dirigea ainsi, lentement, vers l’atelier.

Il ne c'était quand même pas attendu à ce qu'elle accepte sa proposition, ce n'était pas la chose la plus scientifique qui était d'ailleurs, mais bon, il détourna également un peu le regard, un peu rouge, il n'y avait plus vraiment de marche arrière possible, il allait devoir le faire, il ne savait pas si il devait heureux ou nerveux face à cela, mais dans tout les cas, il la regarda alors prendre ce qui lui restait de ces affaires et il regarda les siennes qui se trouvaient dans l'eau, il avait encore le temps de les prendre, et d'ailleurs ce n'était pas vraiment le moment, bizarrement, Koyori semblait nerveuse par quelque chose, et cela ne semblait pas venir que du fait qu'elle allait dormir contre lui.

Alors elle avait mis un peu le bazar dans l'atelier, ce n'était pas vraiment important pour Mickael, surtout du fait qu'il n'y mettait presque jamais les pieds, il se gratta alors la tête et la suivit doucement, il n'allait pas lui demander si il pouvait l'aider, elle semblait ne pas vouloir, enfin, c'était l'impression qu'il en avait, peut être qu'elle avait fait des dessins un peu particuliers, après tout, il ne savait pas si elle dessinait bien, il se gratta alors la tête et une fois arriver devant la porte de l'atelier, il la regarda, l'atmosphère était un peu lourde, peut être parce qu’il n'y avait aucune discussion de lancer, alors il essayé de lui dire quelque chose qu'il pensait un peu amusant.

"Par bazar tu entend du désordre, ou alors quelque chose qui serait trop gênant à être montrer, je ne sais pas moi, comme des portraits."

Il laissa planer juste quelque seconde un petit silence avant d'afficher un petit sourire.

"Je plaisante, qu'importe ce que cela peut être, je te fait entièrement confiance, un jour tu voudra peut être me montrer ce que cela était si il s'agit vraiment de peinture, je t'attend dans la chambre Koyori."

Il n'avait pas voulu être méchant, loin de la, peut être que son humour était un peu trop étrange, dans tout les cas, il se dirigea doucement vers la chambre, il avait un peu mal au pieds mais il faisait avec.

Koyori et Mickael avaient donc quitté la piscine pour aller se reposer. Cependant, comme elle le lui avait dit, la féline avait donc pris le chemin de l’atelier afin de ranger ses croquis. Alors qu’elle allait rentrer dans la pièce, il avait pris la parole. Aussitôt, la brunette s’était immobilisée, les joues absolument écarlates. Ses oreilles s’étaient maintenant couchées sur son crâne. Comment pouvait il avoir mis juste aussi facilement. La jeune femme se hérissa légèrement, mais, déjà, il lui disait qu’il plaisantait et elle n’en rougit qu’une peu plus, car la façon dont elle avait réagit était la preuve qu’il avait viser juste. La femme chat évita soigneusement de le regarder. En fait, elle demeura même absolument immobile alors qu’il fila dans les couloirs jusqu’à la chambre. Sa queue commença doucement à battre dans son dos… Peut être un jour, mais pas aujourd’hui, c’était encore trop récent, trop… chaud… dans son esprit bien sur.

La Neko déglutit un moment, puis entra dans l’atelier. Là, elle posa ses affaires avec les affaires sales, puis, elle rassembla tout les portrait dans une chemise avant de la glissée au dessus d’une des armoires. Là où elle ne pourrait l’attraper qu’en s’agrippant au meuble ou en utilisant sa magie. Ensuite, elle avait récupéré tout le reste, était aller mettre ses affaires au sale. Elle en profita pour jeter un coup d’œil à son reflet dans le miroir. Koyori avait l’impression qu’elle avait changée… C’était peut être une simple impression mais bon… La jeune femme soupira, puis, elle démêla plus ou moins sa chevelure avant de quitter la salle de bain qu’elle utilisait la plupart du temps. Elle fit un dernier détour, le temps de reposer les armes et armures dans la salle d’arme.

Finalement, Koyori se glissa dans la chambre, toujours uniquement couverte de ces deux serviettes. La jeune femme évita toujours soigneusement de regarder Mickael tout en venant simplement se glisser contre lui, dos à lui, sans pour autant vraiment le regarder. Tout ç coup, elle ne semblait plus vraiment savoir comment elle se devait d’agir. Ses oreilles étaient toujours collées à son crâne, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle devait faire pour le moment…

Maintenant bien sec, Mickael se demandait ce qu'il allait faire par la suite, en fait, il se demandait surtout comment il allait réagir quand il allait dormir si près d'elle à même la peau, c'était quand même quelque chose de nouveau, et même si il venait de masser un moment des plus intime et fort dans la piscine, c'était un autre niveau de tendresse, il se gratta la tête, arrivant dans sa chambre, il n'y avait pas vraiment de bazar, mais il fallait dire qu'il n'avait pas été le plus ordonné pendant ces quelques jours, il se gratta alors la tête et commença à ranger pendant qu'il se souvenait de la réaction qu'avait eu Koyori quand il avait un peu plaisanter, comme si il avait totalement vu juste dans son commentaire, il haussa les épaules, ce n'était pas si important que cela d'ailleurs, si elle avait vraiment fait des portrait de lui, il en était surement gêner et fier qu'elle ne pense qu'a lui, une fois qu'il eut finir de ranger un peu le désordre, il se mit au lit et l'attendit.

La Neko semblait assez nerveuse et gêner de le regarder, également, elle c'était mise dans son dos et ne semblait pas vouloir trop bouger, peut être qu'elle ne savait pas ce qu'il fallait faire, en tout cas, lui avait mis un pantalon pour éviter qu'elle ne prenne peur, leur moment intense était passé et elle avait surement besoin d'un vrai repos après tout, il se retourna alors, lui caressant la joue tout en lui retirant les serviettes, il n'avait pas trop envie de mouiller le lit, un fois qu'elle était mise à nue, il se colla doucement dans son dos, plaçant une de ces main sur sa hanche et l'autre au dessus de sa tête, elle pouvait surement sentir le cœur de Mickael battre assez fort tellement que sa peau était collé contre elle, mais c'était ce qu'il voulait, bien entendu, si elle voulait se retourner, il n'allait pas l'en empêcher, loin de la, mais il voulait qu'elle y aille doucement, après tout, il avait depuis longtemps compris qu'il fallait y allé doucement avec elle si il voulait avoir des résultat, il y était habitué d'ailleurs, il resta donc collé à elle, attendant qu'elle s'endorme avant de faire de même.

Koyori était venue dans le lit, les joues toujours un peu rosées et elle s’était glissée dans le dos de son compagnon. Ce faisant, la jeune femme tournait donc le dos à Mickael. Elle le sentit alors lui caresser la joue alors qu’il la débarrassait des serviettes. Rougissante, la féline se glissa un peu plus sous les draps, les oreilles toujours en partie couchées dans sa chevelure. Il l’entoura ensuite de ses bras et elle sentit son cœur s’accélérer dans sa poitrine alors qu’elle demeura un instant immobile. Elle sentait le cœur de l’homme battre contre elle et, fermant les yeux, elle se focalisa sur ses battements pour se détendre au mieux. Peu à peu, son esprit s’apaisa et elle finit par soupirer.

Encore quelques instants, puis, Koyori pivota doucement pour venir maintenant se pelotonner contre lui, enfouissant son visage contre son torse. Ses oreilles s’étaient maintenant redressées sur son crâne. La fille chat inspira profondément, laissant l’odeur de son amoureux envahir tout ses sens. Sa queue bougea un moment avant de s’immobiliser parfaitement alors que la féline s’endormait profondément. Son visage était plus serein qu’il n’avait pus l’être jusqu’à maintenant. Bien sur la vie avait ensuite repris son cours et la féline avait repris l’entraînement de son compagnon. Le couple avait bien entendu eut d’autre moment de tendresse comme celui qu’ils avaient eut dans la piscine. Cependant, dès que le cas des portraits était évoqué Koyori se murait dans le silence et ses oreilles se couchaient sur son crâne. En dehors de ça, la vie au manoir était devenu assez calme et les deux amoureux s’attachaient de plus en plus l’un à l’autre.

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