Maïri ~ Innocente petit renarde

Prénom NOM : Maïri. Âge : 18 ans. Race : Hybride (Femme-Renarde). Origine : ERr’Traÿ. Poste : Exilée [Au cours d’un RP] Famille : Son père a pris la fuit peu après sa naissance, elle n’en a aucun souvenir et sa mère biologique l’a toujours fait passer comme mort. Elle a deux mamans : Sa mère biologique une hybride femme-renard et sa deuxième maman, une femme dragon de glace avec qui sa mère biologique vit un amour parfait.

Bien qu’elle soit assez jeune, Maïri a un corps de femme. Pas qu’elle soit vraiment grande, en fait, elle fait plutôt petite nature au milieu des dragons avec son mètre soixante-neuf. Elle est assez fine pour que sa taille soit marquée, sans pour autant avoir l’air vraiment maigre. En fait, elle a même des formes assez généreuse, une poitrine voluptueuse et un postérieur parfaitement rebondit, le tout séparer par une taille assez fine. C’est une jeune femme à peau assez pâle et sans aucune marque, il faut dire qu’avec son handicape elle évite de ce mettre en mauvaise posture. Quel handicape ? Nous en parlerons plus tard. Une queue touffue de renard la suit partout, où qu’elle aille. Normal, c’est la sienne. D’ailleurs, sa chevelure est du même roux que sa queue. Ils lui arrivent un peu plus bas que les épaules et sont toujours laissés libres. Deux petites oreilles noires garnies de fourrure blanche s’en échappent. Oui, elle ne peut pas nié être une Hybride fille-renarde. Son visage est doux et innocent, innocence encre renforcée par le regard noisette aux éclats doré qu’elle porte sur le monde… un regard voilé cependant… Un regard aveugle. En effet, on ignore pourquoi mais Maïri n’a jamais pus voir la lumière du jour. Généralement, elle garde un sourire poser sur les lèvres, comme si elle se réjouissait de tout sans pour autant le savoir et le connaître.
Coté style vestimentaire, Maïri se contente principalement de s’arranger pour couvrir un minimum son corps et rien de plus. Ainsi, elle un simple débardeur couvrant uniquement sa poitrine et la dévoilant en un superbe décolleté. Ce haut laisse son ventre et ses bras découverts. Une sorte de pagne entour son bassin, tombant jusqu’à ses genoux tout en laissant visible ses deux cuisses. Il est maintenu en place par une double ceinture de cuir. Ces ceintures de cuir maintiennent dans son dos, contre sa taille, le fourreau de son couteau de chasse. Une bande de cuir est attachée autour de sa jambe droite, elle s’en sert pour maintenir en place des objets qu’elle pourrait vouloir conservée. Ces deux vêtements précédents sont tout le temps de couleur blanche. De hautes chaussettes noires entourent ses jambes, mais elles tiennent difficilement en place et ont tendance à lui retomber sur les chevilles. Ses pieds sont entourés de simples bottes de cuir. Elle porte toujours des mitaines assez chaudes qui possèdent une bordure de fourrure au niveau de ses bras. Enfin, dès qu’il faut bouger ou qu’elle est en extérieur, Maïri porte une cape dont le col et la capuche sont fait de fourrure, c’est sa mère qui la lui a faite.

Maïri est encore une enfant, voilà ce que disent les dragons. Ils ont trop souvent tendance à oublier qu’elle ne vivra pas tant qu’eux et qu’elle est déjà adulte… De toute façon, comme elle a été élevée parmi eux, elle a encore souvent des réactions enfantines. Un sourire toujours présent sur les lèvres, même quand elle a envie de pleure, la femme-renarde est le rayon de soleil de ses proches. En fait, elle ne se laisse aller aux larmes que quand elle est seule. Naïve, elle ne se rend pas compte quand on abuse de sa gentillesse. D’ailleurs, depuis qu’ils s’en sont rendue compte, les jeunes dragons s’arrangent toujours pour faire retomber leurs corvées sur elle, trop gentille, les fait avec joie en pensant s’attirer des ennuis alors qu’elle n’a que des moquerie. Enfin, c’est un peu normal, sa naïveté en fait vraiment une proie facile, elle croit sans rechigné à tout ce qu’on lui raconte… Il faut dire aussi qu’elle vit dans un pays tout rose ou tout est blanc ou noir et il en fait beaucoup pour être noir selon elle.
D’un naturel calme, elle intériorise en fait tout ce qu’elle ressent de négatif et quand c’est trop dur à supporter, elle craque un bon coup pour évacué et reprend comme si de rien était. Il en va de même avec les sentiments qu’elle absorbe, si ce n’est que dans ce cas là, elle laisse rejaillir ses propres émotions sur les autres. Oui, Maïri est une éponge à émotion et elle se sert de ce qu’elle peut ressentir pour évaluer les gens qui l’entoure, quitte à se faire de fausses idées dans lesquelles elle s’embourbe simplement. Enfin, il faut dire aussi qu’elle est parfaitement consciente de ne pas toujours pouvoir se débrouillée seule, même si elle fait de son mieux, alors si quelqu’un montre, ne serait-ce qu’un minimum d’intérêt pour elle, elle va s’y attacher… Il faut dire aussi qu’elle est plutôt fleur bleue : le coup du « un jour mon prince viendra », elle y croit dure comme fer. Il faudra cependant un jour qu’elle remette les pieds sur terre.
Maïri est une jeune fille extrêmement fidèle et dévouée… Peut être un peu trop pour son propre bien. Elle fera toujours tout pour faire plaisir à ses proches, quitte à se blesser ou à se délaisser elle-même pour ça. Elle s’adaptera toujours de toute façon… Il a bien fallu qu’elle le façon pour palier à son handicape après tout. Enfin, quand elle se décide à faire confiance à quelqu’un, c’est une confiance aveugle et il y a des chances qu’elle tombe de très haut. Mais, comme dit plus haut, elle est trop gentille et elle préféra se sacrifier que de blesser les gens, même si ça ne l’empêchera pas d’en souffrir.

Notre histoire commence au cœur d’ERr’Traÿ, au sein d’un couple d’hybride renard. La mère était enceinte jusqu’aux yeux. C’était pourtant un couple heureux, du moins jusqu’à ce que la naissance de l’enfant eu lieu.  Elle fut baptiser Maïri et ses parents l’aimaient à la folie… Du moins, jusqu’à ce qu’on remarque que l’enfant était née aveugle. Il n’en fallu pas plus pour que son père n’abandonne sa mère avec la petite aveugle sur les bras. La situation fut assez difficile à vivre pour la femme renarde, aussi quand une dragonne lui proposa de l’aide, elle ne put que l’accepter avec joie. C’est ainsi que Maïri, petite hybride renarde s’est retrouvé à grandir et à être élevée par les dragons au cœur de leurs territoires.
Rapidement, sa mère et leur protectrice développèrent une relation plus intime. Maïri les aimait toute les deux… En fait, Maïri aimait tout le monde, même les autres gamins qui s’en prenait à elle et la chahutait sans ménagement. Pour eux, elle n’était qu’un animal domestique, une étrangeté dont ils pouvaient se moquer sans aucune crainte. La belle-mère de la petite avait beau le leur reprocher, ils continuaient encore et toujours Bien sur, elle avait de très rares amis, mais ce n’était rien comparé au nombre de gens qui profitait d’elle, lui mettant toutes leurs corvées sur le dos. Trop gentille, elle faisait toutes ses corvées, même si c’était bien loin d’être facile pour elle qui ne voyait pas ce qu’elle faisait.
Aujourd’hui, Maïri a dix-huit ans et on la considère encore comme une enfant. Difficile de vivre dans un monde qui évolue plus vite que vous, on l’y traite encore comme une enfant, l’empêchant de vivre comme elle le voudrait… l’empêchant de vivre comme elle le devrait. Pour éviter les dragons, la fille renard a maintenant commencé à errer dans les alentours, découvrant un peu l’extérieur de son territoire. Elle veut apprendre plus de chose sur le monde sans se douter que ce qu’elle ignore est tellement plus vaste que ce qu’elle peut penser.