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 Ceriidwen ~La reine Meduse

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Ceridwen Fay
Reine maudite
Demi-Elfe
Albion
Ceridwen Fay


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Age : 35
Date d'inscription : 27/06/2015

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MessageSujet: Ceriidwen ~La reine Meduse   Ceriidwen ~La reine Meduse EmptySam 27 Juin - 23:08

Ceridwwen Fay
Prénom NOM : Ceridwen Fay.
Âge : 26 ans.
Race : Semi fée.
Origine : Albion, royaume de Kaeravel.
Poste : Reine maudite.
Famille : On peut dire que je n’ai plus aucune famille.Mes parents, tout comme mon frère et ma sœur cadette fond maintenant partis du mobilier du château.
Physique
Une reine humaine envoûtante
Sous ma forme humaine, je suis une femme légèrement grande, sans pour autant dépasser un homme moyen. Ma peau est d’une pâleur lunaire, ce qui la rend affreusement sensible à la lumière du soleil. C’est aussi pour ça que je ne sors que très peu des murailles de mon fort. Ma nourrisse disait de moi que j’étais une belle femme, une de celle qui ferait tourné les têtes… Elle ne savait pas que cela se retournerait contre moi. J’ai des formes… plus que convenable, j’irais même jusqu’à les qualifiées de généreuse, ce qui n’en rend ma malédiction que plus efficace encore, mais ce n’est pas encore la question. Je ne suis pas vraiment musclée, mais c’est surtout la maie que j’utilise, alors, je ne prend que peu soin de mon corps. Soit, j’ai un visage doux, même si rares sont ceux qui peuvent le voir sans être changé en pierre. Si je n’avais pas mon miroir, je ne saurais même pas ce dont j’ai l’air. Ma longue chevelure blonde tombe très bas dans mon dos, ils m’arrivent plus bas que les fesses mais ça me va très bien comme ça, surtout qu’ils sont très soyeux. La dernière chose à savoir sur mon physique humain en lui-même : mes yeux sont bleu, cependant, ils leur arrivent de virés au gris acier sans que je ne sache pourquoi.
Mais vous allez sûrement me demander comment je me vêts ? Tout dépend des circonstances, bien entendu. La plupart du temps, je porte mon diadème d’argent, qui me fait office à la fois de tiare et de diadème. Il se compose de deux petites chaînes lié sur mon front par un symbole lunaire, symbole de ma famille. Ma chevelure est presque toujours laissée libre dans ce genre de cas, à l’exception peut être de petites tresses qui constellent ma chevelure. Je possède une belle quantité de robes, toutes bleues. Ma préférée est en soit piquée de fil argenté et de zircon… ainsi que de broderie dans un bleu plus clair. Mes robes sont d’excellente facture qui pourrait croire que c’est moi et deux de mes suivantes qui en sommes à base. Quoi qu’il en soit, ces robes sont vraiment légères. Je les porte avec des sortes de guêtre de bras en voile bleu. Oui, la plupart de mes robes laissent mes épaules nues, je préfère quand il en est ainsi. Soit, le dernier détail de ma tenu, encore une lune, sceau de ma famille cette fois, que je porte attachée à mon cou par deux chaînes en argents. De simples sandales enserrent mes pieds.
Quand je passe à une tenue plus… protectrice – il faut le dire vite dirait certains – plus de partie de chaire est visible. Je porte toujours les mêmes sandales… En tout cas, elles y ressemblent beaucoup, si ce n’est qu’elles ont peut être un peu plus de dorures. Quand je porte cette tenue plus ‘protectrice’, je porte une robe courte à manche ballon. Elle laisse donc mes jambes assez longues bien visibles. On peut clairement voir des armatures métalliques sur cette robe qui est en fait tissé avec un alliage magique dans lequel on trouve du métal à l’état pur. Hum, petit détail cependant, si cette robe est liée à une petite capeline de tissus, elle n’en révèle pas moins un magnifique point de vue sur ma poitrine avec un décolleté bien plongeant…Cette robe à un col qui couvrent une bonne partie de mon cou. Dans les périodes calmes, J’ai souvent une sorte d’épais boa en plume sur les épaules et bien sur, toujours mon diadème qui montre clairement le rang que j’ai sur ces terres.


Une fée curieuse
En effet, je ne suis pas seulement humaine, je suis aussi une fée. Aussi bien dans le terme Fée, magicienne que les fées elfes. Seulement, contrairement à la plupart des hybrides elfiques, je possède deux formes. Ma forme de fée est donc un peu plus petite que ma forme humaine. Mon corps ne change que peu, si ce n’est que ma peau est peu être un peu plus pâle, mes cheveux plus blond et mes yeux plus bleu. Nous ne parlerons donc que des différences marquantes que peux présenter mon corps. Ainsi, s’échappant de mes cheveux blonds je possède deux très longues oreilles effilées, des oreilles d’elfe comme on les qualifie vulgairement. Dans mon dos se trouvent également deux paires d’ailes d’une couleur variant entre le bleu et le rose. Elles sont étonnamment fines et fragiles… Elles sont également translucides et fonctionnent comme les ailes d’une libellule.
Encore une fois, j’ai deux styles vestimentaires. Celui de mes balades en forêt. Je n’ai pu m’empêcher de conserver un diadème, celui qui aurait dû revenir à ma sœur. Il s’agit de quelque chose d’assez simple, en or et dans un métal que ma famille maternelle est capable… d’invoquer ? Il faut bien dire ce qui est. Il se compose d’un double cercle se rejoignant en pointe sur mon front et qui son relié par un fin motif lui aussi en or ou en tout cas en matière doré. Il n’y a que ce métal étrange, le Lughen, il forme une fine cordelette garnie de feuilles et de fleurs, elles se situes au niveau de mes oreille, elles se détachent, car n’étaient conçu que pour l’apparat. Voilà pour le diadème. Je porte de long bas d’une espèce de soie mauve cousu de métal doré à certains endroits Ajouté à cela une tunique bustier longue, fendue très haut sur la cuisse, avec des manches longe, et elle aussi garnie de décoration et de renforts dorés. Une tenue en somme assez sexy. Je porte une ceinture de tissus bleu et d’or, uniquement pour souligner ma taille déjà fine. Et, enfin, une petite capeline blanche et rose couvre mes épaule et mon dos jusqu’à au dessus de mes ailes.
L’autre tenue, se compose toujours de mon diadème doré, sans les décorations d’apparat, mais garni de fines chaînes argentées également décorées et liées à mes oreilles. Ma tenue de chasse comme je l’appelle est probablement plus sexy que l’autre, mais ce n’est pas fait exprès, c’est avant tout pour me sentir plus à l’aise. Je vous décrirais ma tenue de haut en bas, ce sera probablement plus simple ainsi. Le haut de ma tunique de chasse ressemble beaucoup à une sorte de tunique dont les deux pans ne sont unis entre eux que par une attache au niveau de sa poitrine voluptueuse… le strict minimum pour que sa tenue soit un minimum décente. L’attache est en forme de fleur attachée par un ruban bleu. La robe est bleu marine, avec les manches blanches et les épaules et les avant-bras garnis de cuir renforcé. La jupe de cette robe est très longue, mais fendue très haut, quasiment au niveau des fesses. Des chausses de mêmes couleurs que ma robe tissé de renforts en or. J’ai aussi une ceinture d’or et de turquoise.
Pour chacune de ces deux tenues, je garde près de moi le sceptre de la trinité. Un catalyseur pour ma magie que mes parents m’ont offert quand elle s’est déclarée. Voilà, maintenant, vous savez à quoi je ressemble.
Talents

¤ J’ai une affinité toute particulière avec le métal, principalement quand il est déjà fondu ou au moins travailler. C’est un talent, mêlé d’un pouvoir, que je tiens de sa mère.
¤ Mon père m’a appris à gouverner avec justice et équité et à faire ce que je pouvais pour protéger mon peuple... même si c’est de moi.
¤ A ce qu’on raconte, j’ai des talents tout particuliers pour la poterie et *rire* la sculpture, ironique, n’est-ce pas ?
¤ Mon contrôle du vent me viens de mon père, tout seigneur de Kaeravel ont les capacité de manié les vents et même l’air en général.

Caractère
Dame de cœur
Mes gens disent souvent de moi que je suis une femme qui a du cœur et que, si le destin ne m’avait pas joué un si vilain tour. C’est sans doute vrai. Ceux qui peuvent m’approcher, qui ont la protection des talismans peuvent le certifié, si la vie près de moi n’est pas toujours facile, je fait mon possible pour la rendre la moins pénible possible. J’ai toujours fait tout mon possible pour protéger mon peuple, même si cela veut dire les délaisser pour les protéger de moi… Je veux qu’ils soient heureux et en sécurité, tout comme mes gens, mais ce n’est pas toujours facile hélas.
Si je le pouvais, je ferais de mon royaume un paradis, en attendant, je ne peux qu’en garder la tour et m’assurer de sa sauvegarde en empêchant les avides de prendre les lieux… Car, une légende s’est formée : qui serait capable de prendre le château ou d’en épouser la dame deviendra le nouveau souverain de Kaeravel. Je ne compte pas me marier pour être représenté près d’eux… Et il faudrait un mariage désintéresser pour que mon prétendant ne rejoigne pas ma collection de statue, que je le veuille ou non. Si je me marrie, cela devra donc être un mariage d’amour obligatoirement… mais je commence à me dire que trop peu de personnes peuvent m’approcher sans arrière pensée. Enfin, si mariage il y a, il devrait lever la malédiction qui pèse sur moi… si on en crois les ‘il était une fois’ en tout cas…

As de carreaux
On dit aussi que je suis une personne juste. Si ce n’est pas ma malédiction qui le fait pour moi, mes sanctions son généralement à la mesure du crime et en rapport avec ce dernier. De même façon, si l’un de mes gens ne désire plus rester près de moi, je fais ce qu’il sera nécessaire pour qu’ils mènent à nouveau une vie normal en bas… A l’unique condition qu’ils trouvent quelqu’un pour les remplacer auprès de moi avant cela. J’estime que ce n’est pas beaucoup demander puisqu’ils peuvent aller en ville tant qu’ils le veulent maintenant… du moment qu’ils ne trahissent pas le serment.
Enfin, je n’ai que rarement l’occasion de montrer des signes de justice dans mon château… Il faut bien dire que les règles que j’y ait établies ne sont pas trop dur à respecter… A moins de ne pas porter de talisman… mais en ce cas là, je n’ai pas à poser de sanction, le destin s’en charge de lui-même. Cependant, je conserve près de ma tour ce que j’appelle ma collection de statue. Je ne perds pas espoir de leur rendre leur véritable apparence…. Leur vie oserais-je même dire… Mais, avant ça, il faut probablement que ma malédiction soit levé… Il n’est pas simple d’être reine, mais je fais de mon mieux pour être juste et être ce qu’on peut qualifier d’une bonne reine.

Valet de pique
Je suis victime d’une malédiction alors c’est un peu compliqué. En quoi l’est-ce ? Et bien, j’envoûte qui me vois, et ce, même si je ne cherche pas à le faire. Mais ces envoûtements ne signifie pas qu’ils sont dévoué envers moi… et, si il ne sont pas pur, ils se font généralement statufié… et parfois, même les talisman ne sont pas suffisant pour les protéger de moi. Cette malédiction à fait de moi quelqu’un de solitaire qui ait de plus en plus tendance à m’isoler de mes gens et, par la force des choses, de la politique de mon royaume.
Il faut dire aussi que qui m’approche avec des arrières pensées, même si cela n’est que temporaire, ils sont changés en pierre. Hélas, ses arrières pensées peuvent être des envies de meurtres, comme simplement de l’intérêt pour le gouvernement de mon royaume et non pour moi… ou simplement l’idée de me volé quelque chose… Je suis très dangereuse pour mon entourage, c’est ce qui m’a poussé à isoler mon fort. Je n’ai pas trouvé mieux, même si cela m’a donné une réputation de fantôme ou de chimère… Il faut dire que comme je ne laisse personne de l’extérieur nous approcher moi et ma tour sans avoir eut mon accord au préalable, l’amalgame a été vite fait.

Reine de trèfle
Si il faut maintenant parler de moi en tant que personne, je suis une jeune femme assez douce, malgré tout. Un peu rêveuse et fleur bleu, j’ai longtemps rêver au prince charmant. Aujourd’hui, je sais que c’est illusion que de croire qu’un homme pourrait me libérer de ma malédiction et m’a appris à ne plus accorder ma pleine confiance à personne. Pourtant, je suis sur que, vu le peu de monde que je côtoie, mon cœur n’aurait aucun mal à chavirer d’amour. Enfin, ce moment n’est pas encore venu.
J’adore les chats, il faut dire aussi que, les dieux savent pourquoi, mais ils semblent immunisés contre ma malédiction et ce sont les seuls créatures qui en sont capables de ce que je sais. Ma demeure est donc devenue un vrai refuge pour tous les chats errants des alentours, surtout que j’ai une certaine affinité avec l’engeance féline… Heureusement qu’ils m’aident à tromper ma solitude. Autre chose qui m’aide à tromper ma solitude : me transformer en fée pour errer dans les alentours immédiats de ma tour, la plupart du temps, j’ai l’excuse de ramener des vivres pour les miens… Mais en général, ils ne savent même pas que je quitte le château. Oui, je suis quelqu’un de discret et de très secret… quand au reste, ce sera à vous de l’apprendre par vous-même.
Pouvoirs

¤ Influence des métaux : Tout comme tous les membres de ma famille maternelle, j’ai une certaine influence sur les métaux déjà fondu et peu les reforgés ou les réparer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
¤ Contrôle élémentaires : Je suis capable de contrôler les quatre éléments avec une certaine aisance, même si j’ai une facilité déconcertante dès qu’il s’agit de faire appel au vent ou à l’air.
¤ Appel du Dragon : J’ai été éduqué par une prêtresse d’Ynis Aval durant mon enfance et suis donc capable d’en appeler à l’ancienne magie en invoquant le Dragon.
¤ (Malédiction)Aura de Meduse : Tout ceux qui approche de moi à un certain périmètre avec de mauvaise pensées à mon égard se pétrifient. C’est encore plus rapide si je suis en contact avec eux.
¤ (Malédiction)Répulsif : Qui n’a pas suffisamment de volonté ne peut même pas approcher de mon château à plus de vingt mètres et qui en a suffisamment et n’a pas de talisman ressentira une atmosphère tellement lourde autour de moi qu’il sera tenté de faire demi-tour.
¤ (Malédiction)Envoûtement : Qui me vois ne serait-ce qu’une fois, même dans le lointain, ne pourra jamais m’oublier et sera obnubiler par ma présence et des pensées tournant autour de moi, quel que soit ces pensées. Il n’y a que les talismans de mes gens pour les protéger de cet effet.
¤ Changement de forme : Je suis capable de passer d’une forme humaine à une former féérique à volonté.

Histoire

[i]Cette histoire commence par ma naissance, bien entendu. Une sombre nuit où la fraîcheur commençait à tomber sur Albion. Dehors il y avait un vent terrible et au chevet de la reine, une sage femme et une prêtresse venue d’Ynis Aval. Elle avait accepté de venir pour deux raisons : la première était ma nature double d’humaine et d’elfe, la seconde était le fait que j’étais une enfant de Beltane. Une enfant né de la fête de la fertilité… En résumé, j’étais une enfant prématuré et seul le savoir des prêtresses pourrait me sauver… Et ce fut ce qu’elle fit, mettant une unique condition à ça : que je me rende sur leur île lorsque ma magie apparaîtrait ce qui arriverait fatalement. Hors, on ne peut faillir à une promesse faite à une prêtresse ou à un Druide.
Soit, j’ai donc survécu à cette soirée, tout comme ma mère, ce qui était déjà une grande victoire. J’ai grandit près de mes parents, comme tout les autres enfants j’ai appris d’eux. J’étais heureuse et encore plus chaque fois que ma famille s’agrandissait. Il y eut d’abord Lugh, puis Dana. Et je les aimait autant qu’une sœur pouvait aimé ses cadets. Cependant, ma magie apparue et, comme si elles l’avaient su – et bien sur qu’elles le savaient, le Dragon est tout puissant – des prêtresses se présentèrent au château dès le lendemain. J’entendis les disputes en rassurant mes cadets, bien que je n’étais pas non plus complètement rassurée, j’étais encore jeune. Les femmes finirent par avoir le dernier mot et le lendemain, ma nourrisse me prépara un baluchon. On ne m’autorisait à prendre que peu d’affaires. C’est ce jour-là que, pleurant, ma mère m’a offert le sceptre de la trinité. Je ne suis pas sur qu’il ait été conscient de la puissance de cet artefact à ce moment là.
Les prêtresses m’emmenèrent donc, sous le regard chargé d’incompréhension de mon frère qui commençait à peine à comprendre ce qui se passait autour de lui… Dana, elle était trop petite pour même avoir conscience de ce qu’il advenait. On me hissa sur le dos d’un poney poilu et on m’emmena loin du château de ma famille, sans se soucier un seul instant de mon état d’esprit. Elles en avaient l’habitude après tout, ça me passerait, comme ça leur avait passé à toutes. Je restais en parti amorphe pendant le trajet, me laissant simplement bercer par le pas de ma monture, n’en descendant que lorsque nous établissions un camp pour la nuit. Je n’avais jamais été aussi loin du château. Après plusieurs jours de transport, les prêtresses me firent descendre de mon poney et l’une d’elle partie avec lui après avoir défait mes affaires de son dos. Je ne le revis plus jamais… Le lendemain, on me fit monter dans une barque, guidé par les enchanteresses et nous nous enfonçâmes dans les brumes. Je commençais seulement à les questionner.
J’avais alors appris que l’île était protéger par le Souffle du Dragon. Ni les prêtresse, ni les Druides n’étaient vraiment guerriers alors ils comptaient sur la protection du Dragon. Le Souffle ne laissait accès qu’aux habitants de l’îles où ceux qui avait des sentiments bénéfiques à son égard. On me conduisit donc sur l’île où on m’installa aux cotés des autres apprenti. Sur Ynis Aval, je n’était plus une princesse, je me retrouvais au même niveau social qu’une fille de paysans. Bien sur, il y avait des apprentis Druides, mais nous n’avions pas le droit de nous approchez les uns des autres. Nous étions sensé resté pur durant toute notre formation en tout cas. Nous ne nous côtoyions que pour de grandes occasions, Ils habitaient l’autre côté de l’île. C’était une vie simple et plus ou moins agréable.
Mon éducation fut longue, mais ma magie se renforçait et se faisait de plus en plus précise à mesure que le temps passait, mais je ne me fit que peu d’amie, les autres filles souhaitait rester prêtresse, moi, je n’avais qu’une envie, rentrer chez moi. Il se passa des années avant qu’on ne me laisse enfin quitter l’île. J’avais seize ans, dans certains mondes, cela faisait de moi une enfant, à Albion, j’étais en âge de me marier… ou en âge de régner, ce qui expliquait probablement mon retour. Après tout, j’étais incollable en magie, mais j’avais encore tout à appendre au niveau du protocole et de la diplomatie de mes parents. Cependant, ma trop longue absence avait eut des conséquences auxquelles0 je n’aurais pas penser…
Je revins au château vêtue comme une vagabonde et perchée sur une jument qui avait vécue plus que son temps. On ne voulu tout d’abord pas me laisser entrer et j’avais alors lever le sceptre de la trinité et leur comportement avait aussitôt changer. Un de nos chevalier couru aussitôt prévenir mes parents et, j’avais à peine mis pieds à terre que ma mère me prenait dans ses bras en pleurant. Je restais immobile et fermait les yeux un instant, j’avais presque oublier à quel point ces marques d’affections me faisaient du bien. A mon tour, je l’avais prise dans mes bras alors que mon père se joignait à l’étreinte. Je n’étais alors pas consciente des deux regards pleins de haine qui se posaient sur moi.
Je ne l’appris que plus tard, quand mon frère m’annonça de but en blanc qu’il ne me laisserait pas le trône alors que je les avais soit disant abandonner. Il me reprochait ce que je n’avais pas décider et moi, je me taisait et je carrait les épaules, endurant purement et simplement. Dana fut plus subtil que Lugh dans sa colère, elle contacta une fée des ombres pour se venger de moi qu’elle ne considérait même pas comme une sœur. Il se passa quelques instants de plus. Quand l’enchanteresse décida de mettre en place la vengeance de ma sœur, ce fut le début de la fin pour Kaeravel, le début du cauchemar en tout cas.
Tout commença quand une servante traînait dans ma chambre, faisait soi disant le ménage, pendant que j’écrivais. Il était de notoriété public qu’elle se servait dans les boites à bijoux, mais je ne le savait pas encore… Quoi qu’il en soit, ce ne devait pas être sa seul tard. Elle fut la première statue de ma collection. A partir de là, ce fut le début de la fin et ça n’alla pas en s’arrangeant. Encore une fois, mes parents firent appel aux prêtresses. Cependant, avant même qu’elles ne puissent se rendre dans notre château, j’avais fait encore plus de dégâts. Encore une fois,Lugh était venu me reprocher mon retour… Mais à peine notre dispute avait commencé que je fit face à une statue de pierre. Je hurlais et m’isolait dans mes quartiers. Pour moi, c’était comme si je venais de tuer mon frère, j’étais brisée. On commença à éviter de croiser mon chemin, de peur d’être statufié...
Moi qui pensais recouvrer une vie normale, j’étais à nouveau seule… Les prêtresses promirent à mes parents d’aider les Kaeravois à résister mon approche… en tout cas pour ceux du château… Mais il fallait du temps pour faire le matériel et il ne pourrait protéger que quelques personnes. On nous demanda de choisir ceux qui seraient les plus proche de moi… pour faciliter les choses. Encore une fois, la solution arriva trop tard. J’appris que ma sœur était la responsable de notre malheur, une violente dispute s’en était suivie, puis, ma sœur fut à son tour statufiée dans une expression d’horreur. On commença alors à me traiter de monstre et une première vague de nos gens quittèrent le château… peut être même le royaume, pour ce que j’en sais aujourd’hui…
Je ne sais ce que mes parents décidèrent, mais, même si ils étaient ce que j’avais de plus cher et tout ce qui me restait, je ne pus les protéger quand ils complotèrent probablement pour mettre le royaume à l’abri de moi… Quand la prêtresse revint avec un sac plein de talisman, elle me trouva en larmes aux pieds de mes parents, les gens me restant fidèles rassemblés à l’entrée de la pièce. Ils n’étaient plus qu’une dizaine… tout au plus. On leur donna a chacun un talisman après les avoir ensorceler pour lever l’envoûtement que j’exerçait sur eux, mais l’on me précisa que cela ne marcherait pas à tout les coups… La prêtresse me dit aussi ne rien pouvoir pour les statues… Qu’avec un peu de chance, elles redeviendraient vivantes quand quelqu’un immunisée contre moi et capable de levé ma malédiction viendrait à moi…
J’aurais pu attendre, mais j’avais déjà trop décimé mon peuple. J’isolais mon château en surélevant la parcelle où il se trouvait avec l’aide du Dragon. Il ne restait qu’un sentier secret tenu par mes gens avec la promesse faite de ne pas en parler. Quand à moi, je pris l’habitude de ne plus quitter les murs de mon palais que sous ma forme féerique, qui ne semblait pas toucher par la malédiction...

Suite restante :

¤ Femme de chambre : Isabeau
Dame de compagnie : Adenora
Cuisinier : Erik
Fauconier : Taliesin
Palefrenier : Curyll
Intendante :
Shiza
[u]Garde :
Keu
Fermier : Uther

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MessageSujet: Re: Ceriidwen ~La reine Meduse   Ceriidwen ~La reine Meduse EmptyDim 28 Juin - 13:55

Et validée
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