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 Selenwen ( Ril'Sogen ) Hirokan

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Selenwen Hirokan
Guérisseuse
Elfe de Lune
Arathonis
Selenwen Hirokan


Nombre de messages : 158
Age : 35
Monde d'origine : Arathonis
Races : Elfe de lune
Sexualité : Hétéro
Date d'inscription : 01/01/2008

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MessageSujet: Selenwen ( Ril'Sogen ) Hirokan   Selenwen ( Ril'Sogen ) Hirokan EmptyVen 12 Mai - 13:12

Selenwen Hirokan Ril’Sogan
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Prénom NOM : Selenwen Hirokan Ril’Sogan.
Âge : 27 ans.
Race : Elfe de lune.
Origine : Arathonis
Poste : Guérisseuse.
Famille : Cernunnos Ril’Sogen, 87 ans, chevalier elfique, Haut Elfe, son père. Cybélia Ril’Sogen, 77 ans, guérisseuse, elfe de lune, sa mère.  Morgan Ril’Sogen, 37 ans, mercenaire, elfe de lumière (Haute Elfe), son frère. Eginhard Hirokan, 28 ans, commandant, humain, son mari.
Physique
Selenwen est plutôt grande et très svelte, voir même plutôt mince. Elle a la peau très pale et aussi douce que du satin. Une fine cicatrice lui barre le dos et, depuis qu’elle et son époux ont échangé leurs vœux en Eternia, des marques sont apparues sur son corps, commes des végétauc, mais de couleur violette. Nativement, elle avait de longs cheveux bruns, avec des reflets mauves qui lui arrivaient au niveau des fesses, bien sûr, leur longueur n’a pas changer, en revanche, ils ont maintenant une couleur bleu pâle.Une franche masque en partie son front. Elle les laisse constamment libres, uniquement maintenus en arrière par ses oreilles effilées. Son visage doux est généralement marqué pas la mélancolie, la douceur ou un amour sans borne quand elle est aux cotés de son époux. Les yeux de Selenwen sont bleu limpides, avec quelques touche de violet, ils sont entourés de cils très fins. Voilà en gros à quoi ressemble notre jeune elfe
Elle conserve pourtant son armure dans un coin de la chambre pour ne pas encombrer la forge de son époux, cependant, elle ne la porte plus maintenant qu’elle a quitté l’armée. Pareillement pour son arc et ses flèches.
Depuis le rituel qui a uni ses jours à ceux de son mari, Selenwen a maintenant la possibilité de faire apparaître une grande pair d’aile. Infusée de magie, elles semblent presque être faites de glace et de petit cristaux. La plupart du temps, elle ne les affichent pas.
Cependant, la plupart du temps, elle porte une robe bleue avec des reflets mauves. Celle robe épouse parfaitement son corps. Elle met la poitrine de la jeune femme en valeur. Cette robe est fendue très haut sur la cuisse de la jeune femme et de sa taille on trouve aussi un voilà transparent aussi léger qu’un courant d’air. Elle porte de longs gants bleu/violet qui ne couvrent pas ses doigts. Maintenant qu’elle n’ait plus dans l’armée, il lui arrive de porter quelques bijoux, principalement des boucles d’oreilles et tiares que son époux lui a forgé.
Talents

¤ C’est une pro en Tir à l’Arc
¤ Elle chante particulièrement bien
¤ Elle adore jouer de la flûte de pan et elle en joue très bien…
¤ Elle aime confectionner divers éléments avec sa magie/

Caractère
Selenwen a vécu quelques petites choses qui la rendent plus douce que par le passer, mais elle ne se laisse toujours pas marcher sur les pieds. Si quelque chose doit menacer sa famille ou ses amis, elle n’hésitera pas à redevenir la guerrière qu’elle était et même à tuer, peu importe les conséquences. Si elle n’a jamais voulu déserter pour Eginhard, elle a tout de même fini par abandonné l’armée et maintenant, elle est prête à vivre à ses cotés. Elle est assez perfectionniste et si quelque chose doit va de travers, elle le fera savoir, même avec une certaine violence. Il lui ait parfois arriver de blesser son entourage, mais maintenant, elle essai de faire en sorte que cela ne se reproduise plus. La plupart du temps, elle restera tout de même quelqu’un d’extrêmement doux et tendre.
Sa gentillesse est légendaire dans les rangs elfiques, car elle n’hésitait pas à sacrifier son repas si il y avait quelqu’un qui en avait plus besoin qu’elle. Encore maintenant, elle loupera des repas pour aider ceux qui pourraient en avoir besoin. Maintenant, elle est prête à aider même les hommes-bêtes, du moins qu’ils ne se montrent pas hostiles envers elle. Si on veux faire du mal à sa famille, elle peut devenir folle de rage et détruire quiconque se mettra sur son passage. Cette réaction est encore plus radicale quand il s’agit d’Eginhard ou de leur enfant, même si cela peut venir de sa famille de sang. Foncièrement, elle est quelqu’un de doux, pour qui la vie est un cadeau qu’il faut savoir chérir et préserver, encore plus maintenant qu’avant.
Pouvoirs

¤ Contrôle du vent et de l’eau : Elle peut influencer le vent pour le plier à ses souhaits, comme beaucoup d’elfes. Cependant, Selenwen contrôle également l’eau.
¤ Métamorphose en panthère : Elle est l’une des rares elfes à être métamorphe. Elle peut prendre l’apparence d’un léopard des neiges (Grâce à ce pouvoir, elle a une force un peu supérieure à celle des autres. Elle a une excellente vue et une excellente ouïe.)
¤ Chant : Quand elle use de sa magie en chantant ou en jouant de la flute de pan, elle peut plier la végétation à sa volonté.
¤ Soin : Elle est capable de soigner une plaie en apposant ses mains contre celle-ci grâce à une sorte de lumière bleutée qui émane d’elle.
¤ Vol : Depuis qu’elle a ses ailes, Selenwen est capable de voler, mais elle ne l’a encore jamais fait.

Histoire

[/u]
C’est dans une froide soirée d’hiver que Selenwen a vu le jour, son frère avait alors déjà dix ans et il se jura qu’il n’arriverait jamais rien à sa chère petite sœur. Cette naissance fut joyeuse, car la petite elfe était une enfant désirée de ses parents. Son frère jouait toujours avec elle, et à cause de ça, elle ne s’inquiétait jamais que leurs parents soient absents durant des mois entiers !
Les huit premières années de sa vie furent parfaites. Elle s’entraînait au tir à l’arc et au combat rapprocher avec son frère… Mais voilà, ce jour-là, le jeune homme avait eut vingt ans et il avait dit à sa sœur qu’il s’engageait dans l’armée. Sur le coup, la jeune femme s’était insurgée et avait filé dans une clairière.


« Selenwen ! Ne fait pas l’enfant, voyons… »

Son frère était là, près d’elle. Il la pris doucement dans ses bras, mais, la jeune Elfe de Lune se débattit vivement et le repoussa.

« Laisse moi tranquille ! Vas-t-en ! »
« Selenwen… »
« Me touche pas ! »
« Seles… Un jour, tu comprendras… Tu comprendras que la guerre est dans les gênes de notre famille… Enfin, je l’espère. »


Selenwen avait donc regardé son frère agir, le cœur brisé de le voir lui aussi s’éloigner d’elle. C’est à partir de ce temps-là qu’elle a commencé à se laisser pousser les cheveux. Plus le temps passait et plus elle se sentait seule. Elle finit par aller trouver refuge auprès d’une guérisseuse retraitée qui lui apprit à maîtriser son don. Le reste du temps, elle s’entraînait seule au combat et surtout au tir à l’arc.
Le temps passa et elle finit par atteindre ses dix-huit ans. Elle avait envie de se battre et s’enrôla dans l’armée en tant qu’archère, son frère avait raison, c’était dans leur sang. Selenwen surpris rapidement ses supérieurs, car elle était d’une précision destructrice, c’était peut-être pour ça qu’on la laisser aller et venir où bon lui semblait quand bon lui semblait. Voilà quatre ans que la jeune femme était dans l’armée, ses supérieurs lui avaient annoncé que quelques jours plus tard, elle serait leur égale.
C’est ainsi qu’elle fit comme bon lui semblait, sans qu’elle se soucie d’où elle allait. Elle avait trouvé le corps d’une humaine et lui avait rendu les derniers sacrements… avant de lui prendre sa robe. Elle voulait savoir ce qu’était le coin du camp où résidaient les humains… Elle enfila cette tenue, loin de son camp et cacha ses vêtements avant d’enrouler une large bande de tissus autour de ses oreilles. Elle replia la capuche de la robe sur sa tête. C’est ainsi qu’elle s’introduisit dans leur coin du camp.
Là-bas, elle se fit entourer par les humains, ils s’attaquèrent à elle, dieu seul savait pourquoi. Tornade, elle sortit des lames de couteau aiguisées de ses bottes –elles les avaient récupéré sur le champ de bataille -, Elle se battit comme une lionne, elle les blessa tous, mais à quatre contre un, le combat était inégal. Soudain, elle sentit un choc entre ses omoplates et grogna. Elle essaya de se relevée, mais non, son corps ne répondait pas, le choc avait été trop rude. Elle se demandait ce que ces hommes voulaient d’elle, quand un homme intervint et les fit battre en retraite.
Quand elle pu se relever, elle détailla un moment son sauveur, elle l’admirait militairement d’avoir pus les mettre en déroute. Et bien sur, elle lui était reconnaissante, il était venu à son secours après tout. Elle l’invita donc à faire un tour avec elle et l’homme accepta. Ils passèrent le restant de la journée ensembles et, à mesure que les heures s’écoulaient, Selenwen et son sauveur, Eginhard, discutait et elle commençait à le trouver très sympathique. Quand son regard s’attarda un peu sur lui, elle se dit qu’il était mignon. Puis, soudain, elle réalisa qu’il allait faire nuit, elle devait récupérer ses vêtements et rentrer à la garnison.


« Pardonnez moi, Sir Hirokan, mais l’on m’attend chez moi… Je vous suis franchement reconnaissant de m’être venue en aide. »
« Ce n’est rien Dame Selene. Je vous souhaite une bonne soirée… »


L’homme l’avait embrassé sur la joue, avait sourit et s’était éloigné. Selene, elle avait raccourcit son prénom pour l’humanisé. Un peu plus tard, les nouveaux commandants étaient nommés dans chaque camp et Selewen reconnu son sauveur près eux… Mais lui… Il ne pouvait pas savoir et elle n’irait pas lui dire…
Le temps passa, un mois s’écoula et quelque chose troublait l’esprit de la jeune femme, ainsi, elle repris son habit d’humaine et retourna en ville où elle retrouva Eginhard. Ce fut une nouvelle journée qu’elle passa à ses cotés. A mesure que cette nouvelle journée s’écoulait, son regard coulait vers lui et, de plus en plus, elle ressentait quelque chose pour lui… C’est ainsi que son père la trouva plongée dans ses pensées, allongée sur son lit.


« Qu’y a-t-il Selenwen ? »

La femme avait sursauté, puis elle s’était tourné vers son père et lui avait expliqué ce qu’elle ressentait. Aussitôt, son père avait haussé le ton.

« Ne te farcie pas la tête avec tout ça ma fille… Ce sentiment n’est pas important ! C’est juste un sentiment un peu fort, mais certainement pas de l’amour ! »

Et il était partit, laissant sa fille bouchée bée devant sa réaction. Cybélia qui était jusque là restée à la porte vint s’asseoir près de sa fille.

« Ma chère petite fille. L’amour d’une elfe pour un humain est impossible, c’est pour éviter ce genre d’erreur que nos lois interdissent ce genre de relations. Promet-moi que tu ne chercheras pas à te lier avec cet humain. »
« Mère, je… »
« Promet le ! »
« Oui, mère... »


Ce fut la première fois qu’elle mentait à ses parents. Elle avait alors décidé d’aller faire un tour et erra un long moment sous la forme d’un léopard des neiges… Mais plus elle essayait de se vider la tête et plus elle marchait, plus elle se disait qu’elle voulait le voir. Et les jours suivants, ce sentiment se faisait de plus en plus pressant. Elle repassa donc ses vêtements humains et retourna passer quelques jours en sa compagnie. Puis, un jour, à l’heure où ils se quittaient, elle le rattrapa au dernier moment.

« Eginhard… Je… Je voudrais vraiment sortir avec vous… Être votre… euh… petite amie… »

Ses sentiments accrus d’elfe la firent prendre une belle teinte rosée. Pour toute réponse, Eginhard lui avait sourit  et lui avait caresser la joue en hochant la tête. Notre jeune elfe était aux anges. C’est ainsi qu’elle devint sa petite amie, mais elle craignait trop que les interdictions les séparent pour lui dire qu’elle était une elfe.
Cette relation était assez dure à vivre pour elle… Comment combattre ainsi les hommes-bêtes sans qu’il ne l’identifie. Mais un jour, sur le champ de bataille, il lui sauva la vie, elle fit alors de son mieux pour cacher qui elle était et ne pus l’en remercier, car elle aurait alors dû trahir son identité. Elle avait dû se relancer aussitôt dans le combat pour ne pas que son comportement paraisse étrange.
Un an après le début de leur relation, elle continuait donc à aller le voir en secret, mais plus le temps passait et plus elle fatiguait de luie mentir. Alors, un jour où leurs pas les avaient menés un peu à l’écart du camp, elle lui avait relevé ce qu’elle était tout en enlevant la capuche et le tissu qui cachait ses oreilles. L’homme s’était simplement contenté de lui sourire.


« Je le sais déjà… »

Elle écarquilla les yeux et le fixa avant de bafouiller :

« M…mais comment ? »

Il lui expliqua alors qu’un jour, par mégarde, elle avait démasqué l’une de ses oreilles. Par réflexe, elle avait porté une main à l’une de ses oreilles, le regarda et se mordit la lèvre. Il savait… Et pourtant, il était toujours avec elle. Selenwen sentit les larmes lui monter aux yeux alors qu’elle lui sauta au cou pour l’embrasser avec passion sous le coup de l’émotion.
Quelques jours plus tard, Morgan trouvait la mort et Selenwen le vengeait en assassinant un nombre éberluant d’himme-bêtes, elle était triste. Quand la bataille fut terminée, tout ce qu’elle trouva à faire fut de remettre son déguisement et d’aller pleurer la mort de son frère dans les bras d’Eginhard.
Le temps s’écoulait, encore et toujours, malgré ce dont étaient persuadés les Ril’Sogen, leur fille avait poursuivit cette relation avec cet humain : Eginhard Hirokan. La guerre était toujours à son apogée et le couple se retrouva un jour bloqué dans une partie de la forêt, isolés des leurs. Elle avait peur, elle pensait que, cette fois, ils ne s’en sortiraient pas. Mais, l’homme, lui, était persuadé du contraire. Il lui fit sa demande en mariage et, même si elle trouva le moment mal choisit, elle accepta.
Finalement, il avait eut raison, ils s’en sortirent bien tout les deux et, le soir de son retour, l’elfe alla trouver son père.


« P…père ? »
« Qu’y a-t-il ma fille ? »
« Pourquoi il nous ait interdit d’aimer les humains ? »
« Parce que c’est ainsi… » »
« Mais, c’est ridicule Père ! Les humains sont dans notre camp… Et ils sont comme nous ! »
« Ne dit pas d’absurdité ! »
« Mais l’amour entre humain et elfe peut être assez puissant pour mériter d’exister. »
« Jamais de la vie. »


Selenwen avait alors timidement montrer sa main à son père ou plus précisément la bague qui s’y trouvait.

« Pourtant, Eginhard… Il m’a demandé en mariage... c’est que c’est possible… »
« Sottise ! »


Son père lui arracha la bague du doigt et la brisa avec sa magie. Selenwen sentit son cœur se brisé.

« Ces sentiments, ce ne sont que des mensonges ma fille ! Oublie le, ça vaux mieux !

Et il partit, jetant les restes de la bague au feu et claquant la porte derrière lui. Selenwen regarda son père partir, avant de se jeter auprès du feu et d’en sortir la bague à l’aide de sa magie. Elle la glissa alors dans un mouchoir, les larmes roulants sur ses joues pâles. Le cœur en lambeaux, elle rangea précautionneusement la bague dans une petite bourse.
Dans les jours suivants, dès que son chemin croisait celui d’Eginhard, elle fuyait, alors un jours, l’homme en eut assez de son manège et il la rattrapa. Selenwen détourna le regard, elle aurait voulu s’enfuir, mais il lui tenait l’épaule…


« Pourquoi tu me fuis comme ça Selene ? »

Même si elle lui avait dit son vrai prénom, il ne l’utilisait que peu. Elle garda la tête basse. Puis, elle daigna lui expliquer ce qui c’était passé avec son père et les larmes coulèrent à nouveau sur ses joues pâles. L’homme l’avait regarder et l’avait serré doucement contre lui.

« Tu sais Selene… On peut bien se marier sans l’accord de ton père.
« Je l’aimerais tellement… Mais mon père… Que sait ce qu’il pourrait faire si il l’apprenait, j’ai peur Eginhard… »
« Ne t’en fais pas, je te protégerais… »


Selenwen avait doucement hoché la tête et s’était blottit dans ses bras. Quelques temps plus tard, elle se mariait avec Eginhard grâce à l’un de leur ami. Ce mariage avait été secret, mais elle l’aimait tellement.
Dans l’ombre, ils construisirent eux-même leur maison, mais il sembla que son père ait été mis au courant, puisqu’il contacta deux elfes pour arranger l’union avec eux. Rapidement, elle eut un accord avec l’un d’eux qui avait aussi une relation cachée, mais elle et son mari durent se débarrasser de l’autre. Ils n’ont jamais été accusé de cela.
Grace à Elias, ils purent continuer de bâtir leur refuge à leur goût, petit à petit, jusqu’à ce qu’ils s’y sentent bien. Cependant, de plus en plus Selenwen pensait au fait qu’elle survivrait à l’humain et cela lui était intolérable, ainsi, les deux époux prirent un congé et partir à Eternia où ils trouvèrent un rituel pour unir leur jour. Lorsqu’ils effectuèrent le rituel, la magie afflua en l’elfe, changeant son apparence et renforçant sa magie… en plus de l’effet même du rituel d’ailleurs.
La vie de rêve qu’ils vécurent en Eternia ne pu durer plus de quelques jours avant qu’ils ne doivent rentrer. Leur escapade avait cependant trahit leur vie de couple, ce qui ne plus pas aux parents de l’elfe… et non plus à ceux de l’homme qui révéla le lourd secret de la naissance de son fils : ce dernier n’était pas humain. Avec la haine des hommes-bêtes que ressentait Selenwen, elle panique, s’enfuit et se laissa complètement aller à l’auto-destruction. Ce fut Elias qui la recueillit et tenta de l’empêcher de trop s’affaiblir, même si cela l’obligeait à rester à ses cotés. La compagne de ce dernier vint lui rendre visite durant ce temps et l’elfe appris à comprendre la raison de leur accord. Sa compagne était une femme licorne.
Il fallu quelques jours à la femme-bête pour que Selenwen accepte sa présence près d’elle et comprenne qu’elle ne lui voulait pas de mal et même qu’elle veillait elle aussi à ce qu’elle ne dépérisse pas au point que son corps cède. Ce fut la première à identifier la grossesse de l’elfe de lune. Cette nouvelle poussa cette dernière à comprendre l’erreur qu’elle avait fait, à se forcer à reprendre des forces afin de mieux pouvoir aller rejoindre son époux et vivre à nouveau avec lui.
C’était simplement une nouvelle épreuve qui finirait par les rendre plus fort.
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Les liens


Famille

Cernunnos Ril’Sogen : 87 ans, chevalier elfique, Haut Elfe, son père.
Cybélia Ril’Sogen : 77 ans, guérisseuse, elfe de lune, sa mère.
Eginhard Hirokan : 28 ans, commandant, Hybride, son mari.
?? Hirokan : Pas né, //, Hybride, son/ses enfants

Positif

Elias Esfiël : ?? ans, ??, Elfe de lune / Elfe Noir, aurait dû être son promis.
Etana ?? : ?? ans, Femme-Bête (Licorne), compagne d'Elias.

Négatif
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