Tristana, Yandere dans l'Ombre

Prénom NOM : Tristana North Surnom: Ana Âge : 27 ans Race : Humaine  Origine : Oration  Poste : Danseuse et Maîtresse Famille : Père : Erik North, téléprospecteur, 60 ans. Mère : Béatrice North, lessiveuse et repassage à domicile, 51 ans. Soeur : Anika North, décédée.

Tristana est une jeune femme assez grande, à la peau claire. Il faut dire qu’elle n’aime pas vraiment prendre le soleil. Sa silhouette est assez fine et svelte, agréable à regarder. Oui, on peux même dire que c’est une belle femme, même si bien souvent, son visage manque d’émotion. Elle n’a pas la moindre marque sur son corps, un corps parfait dirait certains, parfaitement ciselé en tout cas. Elle faisait suffisamment de travail sur son corps pour son travail. Son regard est d’une étrange couleur rose, mais qui change parfois de couleur selon son humeur. Lorsqu’elle est de bonne humeur, son regard prend alors une couleur mauve/violacée. En revanche, quand elle se met en colère, son regard vire au rouge sang. Tristana a de longs cheveux roses qu’elle maintient en place à l’aide d’un bandeau. Et pourtant, le bandeau laissait échapper une frange un peu éparse. Au niveau de chacune de ses oreilles, elle porte deux tresses, le reste de sa chevelure étant maintenue en place en une queue de cheval attachée haute. Ils lui arrivent à peu près au niveau des reins, juste au dessus de ses fesses. En soit, oui, c’est une très belle femme, elle pourrait sans doute plaire à beaucoup.
Lorsqu’elle travaille et qu’elle est libre de porter ce qu’elle veux, elle porte des tenues plus excentrique. Elle porte alors une sorte de bolero de couleur noire et ne couvrant pour ainsi dire que sa poitrine. Une sorte de pagne couvre le bas de son corps, arrivant à peu près à mi-cuisse. Si ce n’était sa tenue de spectacle, elle passerait probablement pour une esclave. Et pourtant, elle dégage une certaine noblesse, c’est une impression qui est encore renforcée par le nombres de bijoux qu’elle portait. De simples ballerines… ou peut-être des chaussons de danse noirs. De ses chevilles jusqu’à sa taille, elle porte alors des voiles blancs entourant ses jambes. Sous ce voile, elle porte des sortes de bas sans « chaussettes ». Ses bras sont couverts d’espèces de « manches » amovibles. Aux bracelets qu’elle porte est attaché une sorte de cape assez légère. Grace et légèreté l’accompagnent donc en spectacle avec cette tenue.
Dans la vie de tout les jours, Tristana a une apparence un peu plus commune. Bien sur, il lui arrive de porter des vêtements plus classique, bien qu’elle aime toujours avoir une petite pointe d’excentricité. Sa tenue fétiche consiste en une robe blanche assez simple et décolleté. Cette robe est maintenue à la taille par une ceinture de tissu et de cuir mêlé, en soit une tenue assez classique. Bien sur, elle est assez aisée et le montre avec quelques bijoux restant assez discrets. A ses pieds, elle porte une simple paire de bottines noires. De même façon, ses poings sont pris dans de simples mitaines. Il y a aussi un manteau auquel elle est particulièrement attachée. Un manteau qui pourrait faire parti de son Autel.

En apparence, Tristana est une jeune femme tout ce qu’il y a de plus normale, souriante et douce avec les autres. Elle semble être tout ce qu’il y a de plus équilibré. Tristana paraît pour être un bourreau de travail et être assez stricte quand il s’agit de la danse. Elle est souriante vis à vis de ses fans, même si ils n’ont que peu d’importance pour elle. Elle ne se préoccupe plus un instant de sa famille, mais sa famille, surtout sa mère, l’appelle de temps à autre pour simuler une vis de famille classique. Pour les médecins, si elle n’est pas guéri de sa sociopathie, elle en était soignée, alors ils n’avaient aucune raison de la priver de cette vie « normale ».
En réalité, Tristana est une femme froide et calculatrice. Il faut dire qu’elle ne ressent que peu de sentiments… Et pourtant, dieu sait qu’elle aimerait en ressentir… et même qu’elle donnerait tout pour ça. Elle est on ne peut plus manipulatrice. Il faut dire qu’elle est capable de simuler toutes sortes de sentiments et d’agir comme les autres veulent qu’elle agisse. Elle fini donc toujours pas avoir ce qu’elle veux. Elle peux aussi avoir une très bonne réputation auprès de tout le monde alors personne ne s’inquiète de ses médicaments… personne ne remarque ce qu’elle est vraiment, mais peu importe. En ce qui concerne les esclaves, on peux dire qu’elle n’a pas la moindre considération à ce niveau-là. Quand ils la satisfont, Tristana les cagoles et les gâtent. En ce cas, ils n’ont certainement pas à se plaindre. En tout cas, c’est son point de vue. D’ailleurs, elle n’a aucune notion de bien ou de mal et est donc capable de leur demander tout et n’importe quoi… Pas contre, si quelque chose se passe mal, si un esclave échoue ou désobéit, elle les punira et les fera souffrir en punition. En revanche, si quelqu’un la met en colère, il n’y aura plus d’issue de secours. En rage, elle ne connaît pas de limite. Elle est capable de tortures physiques ou mentales et agira dans la moindre pitié. 

La famille North était une famille assez étrange. On ne voyait que peu le mari quitter le domicile sans sa femme. Cependant, quand on les voyait ensembles, Béatrice semblait vraiment l’aimer et lui souriait lentement, le regard un peu longtain. Quoi qu’il en soit, vint le jour où le couple eut des jumelles, Anika et Tristana. Les jumelles s’avérèrent bien rapidement on ne pouvait plus différente. Anika était une jeune fille douce, toujours souriante et toujours prête à aider les autres. Elle était aussi rayonnante que le soleil. Tristana était l’ombre de sa sœur, sombre, ne montrant jamais une seule émotion. Pire encore, elle était prête à regarder les gens mourir devant elle sans tiquer. C’était comme si elle n’avait pas de coeur.
La famille North avait pris un esclave pour s’occuper des jumelles dans leur déplacement en ville. Anika était la coqueluche de tout le monde, mais sa mère ne voyait que par Tristana. Elle lui disait qu’elle se retrouvait en elle et qu’elle lui ressemblait beaucoup. Mais cela ne changeait rien, tout allait bien pour Anika et Tristana ne recevait que des critiques. Elle faisait peur parce que c’était un monstre. Tout pour sa sœur, rien pour elle… rien sauf l’amour de leur mère.
Un jour, Tristana regarda sa sœur qui discutait à quelques pas devant elle avec l’esclave. Anika avait toujours toute l’attention… Peut-être que si sa petite sœur n’était pas là, les choses seraient mieux pour elle. Elle avança d’un pas, posa ses mains sur le dos de sa sœur et poussa en avant. Un cri… Un crissement de pneu. Un bruit de choc. Une nouveau cri. La suite des événements fut assez flou dans la tête de la jeune fille. Ses souvenirs suivant se situent ans un commissariat. On l’accusait du meurtre de sa sœur quand sa mère arriva et la pris dans ses bras.

« Là, là… Tout doux. Ça va aller ma chérie. »

Tristana ne savait pas ce que sa mère avait pu faire ou dire, mais les soupçons s’étaient maintenant tournés vers l’esclave qui fut purement et simplement condamné à mort. Innocentée, l’enfant pu donc rentrer chez elle, débarrassée d’Anika. Elle n’aurait plus jamais à vivre dans son ombre. Cependant, ce passage au commissariat avait obligé madame North à envoyer sa fille chez un psy. On la diagnostiqua sociopathe et elle dû être internée. Elle passa des années dans ce bâtiment, médicamentée, elle n’en continuait pas moins ses études. On lui permit aussi de prendre des cours de danse.
A mesure que le temps passait, son talent pour la danse se faisait de plus en plus remarqué. Tristana commençait peu à peu à avoir des admirateurs alors que son talent était reconnu. A partir de là, elle su ce qu’elle ferait une fois dehors… et elle savait aussi ce qu’elle devait faire pour sortir de là. Depuis son arrivée, elle étudiait les autres et ce fut donc tout naturellement qu’elle commença à singer les autres, simulant de plus en plus d’émotions. C’est ainsi que, passé quelques mois, elle fini par avoir le droit de passer un week-end chez elle, puis de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps. Elle fini par complètement rentrée chez elle, avec des médicaments et un rendez-vous chez le psy une fois pas semaine.

« Tout va bien ma chérie, tu es rentrée. »

Oui, elle était rentrée et bien rapidement après ce retour, sa mère l’avait convaincu d’arrêter le traitement qu’on lui avait prescrit. Tristana ne se le fit pas répéter deux fois. Elle vécu dès lors une vie normale… ou en tout cas, une vie normale apparente. Tristana fut donc diplômée et formée dans une école de danse, elle devint rapidement une bonne élève et elle ne se plaignait jamais. La jeune femme grandit, se fit un nom et pris un appartement en plein centre ville, elle pris des esclaves, mais aucun ne parvint à quoi que ce soit avec elle, que ce soit au niveau de l’obéissance ou de lui faire éprouver quoi que ce soit. Bien souvent, les esclaves disparaissaient, mais qui s’en souciait finalement. Leurs disparitions n’étaient même pas dans les dossiers.
Aujourd’hui, elle compte en prendre un… encore. Peut-être que ce sera le bon cette fois.